La symphonie n°1 est en
fait la première de Gustav
Mahler, un musicien mort à
Vienne comme Schubert, le célèbre
créateur de la truite
arc-en-ciel en papillote.
D’aucuns
affirment que le classique,
c’est de la grande musique.
D’ailleurs, à ce
propos, un d’aucuns de
mes connaissances m’a
dit tantôt, il devait
être entre 1 heure et
2 heures du mat', oui on ne
communique qu’à
certaines heures pâles
de la nuit, il m’a donc
dit : « Le classique,
c’est de la grande musique.
» Tu vois, je ne te mens
pas.
Eh
bien, perso, je trouve que cette
symphonie est pâteuse.
Le son ne me convient pas du
tout, les instruments ne m’agréent
pas vraiment, des différents
mouvements, je n’ai pas
grand chose à dire et
cette oeuvre a un aspect un
peu stéréotypé
pour un ensemble qui possède
à l’instant même
où j’écris
ces lignes, il est deux heures
trente du matin, autant de fraîcheur
qu’un disque de Jul sorti
la semaine dernière.
Cette
Symphonie n°1 est dirigée
par Boulez, contre lequel je
n’ai rien dans la mesure
où il se contente de
jouer les chefs d'orchestre,
et Mahler y fait du néo-Wagner,
le célèbre créateur
de "La chevauchée
des vaches qui rient",
un thème sur l’élevage
de ces sympathiques bovidés...
Bref,
je me suis rapidement ennuyé
à l’écoute
de cette œuvre folklorico-post-romantique
alors que ce ne fut pas le cas
à celle d'une des Smashing
Pumpkins où le préposé
aux vocaux fait très
bien la chèvre.
PS
: personnage de bon goût
jusqu’à son dernier
souffle Gustav Mahler eut ce
joli mot avant de mourir : «
Mozart ! », alors
que Musset déclara :
« Dormir, je vais
enfin dormir ! ».
Il devait être sûrement
insomniaque.
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l'image
du jour
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Les
grands moments de
la musique classique
!

Pierre
Boulez préparant
sa salade.
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