Magma
Magma
Live (1975)
Ce
live (Hhaï) de Magma procède
un peu de la transe avec des
thèmes plutôt longs
(il faut bien ça) et
des vocaux comme on n’en
avait jamais attendu avant.
Avec un chanteur nommé
Blasquiz qu’on croirait
même qu’il va crever
à la fin du concert.
Magma, c’est aussi bien
sûr Vander et ses caisses
lourdes et impressionnantes,
Lockwood et son violon rapide
et fiévreux. Le tout
sur une assise de claviers électriques
et prenants. Avec un bassiste
nommé Paganotti qui n’est
sûrement pas fait que
pour jouer les utilités
derrière l’ancien
moustachu d’Astaffort.
Magma, ce n’est pas forcément
tout bon, force est de le köhnsthatë…
pardon… constater, mais
cet album, malgré quelques
passages un peu jazz-rock-qui-prend-la-tronche,
est presque au top de sa production
et pas bien loin de "Mekanïk
Destruktïw Kommandöh",
son oeuvre majeure.