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Procède de
la transe

Magma
Magma Live (1975)

 

Ce live (Hhaï) de Magma procède un peu de la transe avec des thèmes plutôt longs (il faut bien ça) et des vocaux comme on n’en avait jamais attendu avant. Avec un chanteur nommé Blasquiz qu’on croirait même qu’il va crever à la fin du concert.

Magma, c’est aussi bien sûr Vander et ses caisses lourdes et impressionnantes, Lockwood et son violon rapide et fiévreux. Le tout sur une assise de claviers électriques et prenants. Avec un bassiste nommé Paganotti qui n’est sûrement pas fait que pour jouer les utilités derrière l’ancien moustachu d’Astaffort.

Magma, ce n’est pas forcément tout bon, force est de le köhnsthatë… pardon… constater, mais cet album, malgré quelques passages un peu jazz-rock-qui-prend-la-tronche, est presque au top de sa production et pas bien loin de "Mekanïk Destruktïw Kommandöh", son oeuvre majeure.

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l'image du jour _____________________________________________________________________________

Les moments les plus délicats du Zeuhl !

Dans son jeune temps, Vander implorait les Dieux Kobaïens pour que les disques de Magma se vendent beaucoup plus afin de propager un peu partout dans le vaste monde l’inhérente phosphorescence céleste du grand Zeuhl cosmique même si en fait ça ne veut pas dire grand chose.