Le
jazz du trompettiste Loustalot
lorgne vers le classique (la
musique pas le jazz).
Beaucoup de cordes donc (violon,
alto, violoncelle + contrebasse)
et un certain Julien Touéry
qui ne joue pas les comparses
au piano.
L’ambiance est au recueillement,
tout en mélancolie, regardant
vers l’intérieur
bien sûr avec une écriture
rigoureuse pour une œuvre
pas le moins du monde figée.
Et tout du long, la trompette
s’épanche à
peine accompagnée joliment
de cordes soutenues par un piano
loin de toute démonstration
dans un certain impressionnisme.
Oiseau rare est rare
car vrai, propice à quelques
moments de regard intérieur,
tout en retenue, comme flottant
sans trop donner et de façon
plutôt sobre et élégante.
|
_____________________________________________________________________________
LA
CRitiQUE D'UN AUtRE
DiSQUE DE 2023
_____________________________________________________________________________
|
Rio
Trevor
Rabin
...
dans le
pauvre...
|
|