Dans la série des-disques-que-j'emporterais-sur-une-île-déserte
voici aujourd'hui un album de
Jarrett qui se présente
sous la forme de deux longues
plages jazzy puissantes avec
beaucoup de tension, un sens
mélodique bien affirmé,
de belles improvisations, une
énergie finement maîtrisée,
des flûtes et des percussions
pleines de mystère. Ca
sent l'orient. Ca respire. Ca
vit. Normal, le jazz est une
musique vivante.
Que
veux-tu que je te dise de plus
? Eh bien, pas grand chose...
Bon, d'accord, parfois le Keith
se la joue un chouïa free-jazz,
mais, à peine, et dans
ce superbe disque il réussit
en bonus à booster le
très BCBG Jan Garbarek,
ce n'est pas rien.