Voici,
aujourd'hui, cher ami lecteur,
dans la belle série des
disques-dont-y'a-rien-à-dire-mais-je-veux-quand-même-en-écrire-quelque-chose,
le tout récent monument
d'un autre célèbre
duo dont l'hexagone peut être
fier dans le créneau
de la variétoche de par
chez nous où brillaient
déjà Gray et Barbelivien,
Elli et Jacno, Shirley et Dino,
David et Jonathan, Fréro
Delavega, Souchon et Voulzy,
A Cause Des Garçons,
Goldman et Jones, Aaron, NTM,
Rita Mitsouko, Stone et Charden,
Djadja et Dinaz, Niagara, Dorothée
et Corbier, Début de
Soirée, Air, (oui d'accord,
j'en mets un trop mais faut
remplir), Daft Punk et Poltron
et Sofa... non pour ce dernier,
ça marche pas.
Et
que dire de ce nouveau album
de Justice (en français
: justice) qui en fait
ne l'est pas ?
Eh bien, c'est naturellement
un autre chef-d'oeuvre (Bigre,
comment font-ils ?) au titre
amusant et à la pochette
un peu moins des anciens inventeurs
patentés de l'ex-néo-disco-lique
nommés Maurice Duruflé
et Gabriel Fauré... oui,
bon, d’accord, c’est
pas leur nom...
Les
gars sont géniaux dans
tous leurs disques, comment
pourrait-il en être autrement,
surtout dans leur sommet, "The
frenchouille touch", même
si je l’ai pas encore
écouté ? Et depuis
ils ont largement mérité
d'être mondialement connus.
Oh, et puis non, tout compte
fait.