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Hyper drame

Justice
Hyperdrama
(2024)


Voici, aujourd'hui, cher ami lecteur, dans la belle série des disques-dont-y'a-rien-à-dire-mais-je-veux-quand-même-en-écrire-quelque-chose, le tout récent monument d'un autre célèbre duo dont l'hexagone peut être fier dans le créneau de la variétoche de par chez nous où brillaient déjà Gray et Barbelivien, Elli et Jacno, Shirley et Dino, David et Jonathan, Fréro Delavega, Souchon et Voulzy, A Cause Des Garçons, Goldman et Jones, Aaron, NTM, Rita Mitsouko, Stone et Charden, Djadja et Dinaz, Niagara, Dorothée et Corbier, Début de Soirée, Air, (oui d'accord, j'en mets un trop mais faut remplir), Daft Punk et Poltron et Sofa... non pour ce dernier, ça marche pas.

Et que dire de ce nouveau album de Justice (en français : justice) qui en fait ne l'est pas ?

Eh bien, c'est naturellement un autre chef-d'oeuvre (Bigre, comment font-ils ?) au titre amusant et à la pochette un peu moins des anciens inventeurs patentés de l'ex-néo-disco-lique nommés Maurice Duruflé et Gabriel Fauré... oui, bon, d’accord, c’est pas leur nom...

Les gars sont géniaux dans tous leurs disques, comment pourrait-il en être autrement, surtout dans leur sommet, "The frenchouille touch", même si je l’ai pas encore écouté ? Et depuis ils ont largement mérité d'être mondialement connus. Oh, et puis non, tout compte fait.