Japandroids
Fate
& Alcohol
(2024)
D’abord, on a un duo qui
revient après sept ans
d’absence. On peut penser
qu’ils n’avaient
pas eu sûrement la moindre
idée nouvelle qui aurait
pu les faire rapidement come-backer
et j’avoue ne pas savoir
si ce verbe existe.
D’un autre côté,
ils annoncent que ce disque
sera leur dernier et alors on
se prête à penser
que les gars vont faire un max,
que ça va arracher ce
testament des Japandroids et
j’avoue que ce nom de
groupe, c’est pas terrible.
Bref, j’ai écouté
ce "Fate & alcohol"
où les gars font toujours
pareil, bien sûr, sans
rien de plus que le disque précédent
que j'avais écouté
et dont je n’avais pas
fait de chronique il y a sept
ans, putain, ça passe
vite, et comme disait Virgile
(né le 15 Octobre -70,
décédé
le 21 Septembre -19, mais il
faisait encore chaud) :
il fuit, le temps, et sans
retour.
Et, Japandroids, c’est
toujours énervé,
rapide, garage bien sûr,
identique d'un titre à
l’autre avec des vocaux
qui sont loin de convenir mais
c’est punkant et j’avoue
ne pas savoir si cet autre mot
existe.
_____________________________________________________________________________
l'image
du jour
_____________________________________________________________________________
L'autre
fois, Lady
Gaga ne savait
plus quoi
trouver comme
déguisement
à la
con !
Du
coup elle
s’était
fait faire,
elle aussi,
la tête
au carré.
|
|