Haim,
ce sont trois frangines (chant,
gratte, basse et claviers...
non, ça ne fait pas quatre)
et un gars qui joue de la batterie
(plutôt bien, je l’ai
entendu en concert où
le groupe assure mieux).
Haim, c'est comme du néo-Fleetwood
Mac sans l’aspect un rien,
disons, sensuel du premier et
avec des vocaux saccadés
qui lassent un peu à
la longue.
Haim,
c'est donc en ces temps
de la pop amerloc comme dans
les 70’s avec parfois
un peu de celle des 80’s,
les meilleures selon Madonna.
Au début,
c’est plutôt pas
mal, joyeux et entraînant,
mélodieux et plaisant.
Puis, ça s'épuise
un peu dans une sorte d’uniformité
dont on sait que l’ennui
naît.
Attendons
donc le best of.