Comme Gilmour fit partie de Pink
Floyd, moi, j’écoute
chaque nouveau Gilmour en solo
alors que comme Sting fit partie
de The Police j’écoute
jamais chaque nouveau Sting, c’est
ainsi.
En
bien, écouter ce "Rattle
that lock" ce n’est
pas toujours une bonne idée
car si avec "On An Island"
le David était dans une
île dans ses pantoufles,
là, il est dans un salon
dans son fauteuil... Et dans ses
pantoufles aussi.
Le
gars fait bien sûr un peu
de Pink Floyd en instru pour démarrer,
c’est sympa. Puis il nous
balance le single de la sinistre
gare où je vais deux fois
par an. Et là, j'ai du
mal d’autant plus que c’est
pour commencer une pop cool sans
consistance comme ça va
l’être pratiquement
tout au long de l’album.
Bien
sûr, même si on ne
demande pas à Gilmour ne
nous refaire du re-Pink Floyd,
on ne peut s'empêcher d'y
chercher un peu de son ancien
groupe qu'on retrouve par instants
mais sans profondeur, ni fièvre,
ni psyché, ni un quelconque
côté planant.
Après,
Gilmour va un peu mais à
peine vers le jazz et il y a bien
quelques jolis solos de guitare
mais ça ne suffit pas à
mener au plus haut cet album pas
loin d’être terne.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus délicats
de la longue
et douloureuse
histoire du
groupe Pink
Floyd !
Ça
ne s’est
malheureusement
pas arrangé
entre David
Gilmour et Roger
Waters.
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