Tantôt, avant de me lancer
dans une écoute sérieuse
de ce bouleversant collectif batave,
j’ai voulu cerner de près
le style musical proposé
dans ce « Aspiral ».
En fait, il s’avère
que ce groupe serait d’après
les dires d’un spécialiste
que j’ai rencontré
tout à l’heure au
tri sélectif au coin du
ma rue, à la fois metal
symphonique, metal gothique, metal
progressif, metal-néo-classique
et même power metal, le
tout chargé à ras
bord de relents d’opéra
tout en étant de la mouvance
de Edenbridge, After Forever,
Rhapsody, Lacuna Coil ou même
Within temptation, groupes édifiants
dont tu pourrais peut-être
trouver si tu voulais quelques
lignes écrites ici même
sur effet larsen, le
site qui se penche avant tout
sur les trucs les plus moches
et marrants...
En
fait, Epica, c’est un brouillamini
de ce qui se fait de pire dans
ce microcosme édifiant
qui pourrait peut-être aussi
foutre la frousse si on s‘y
attardait quelque peu.
Vite,
fuyons!