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Ooh, what a
lucky man he was

Emerson, Lake & Palmer
Emerson, Lake & Palmer (1970)

 

 

Voici le premier album du fameux trio qui eut son heure de gloire dans les années 70.

On y trouve "Lucky Man", romantique ballade chantée de façon très appliquée par Greg "Mike Brant" Lake, avec à la fin un solo original de moog de Keith "Rachmaninov" Emerson qui inventait par la même occasion tous les petits maîtres des claviers prog des années suivantes. "Take A Peeble" est correct même s'il est un peu gaché par une longue et gratuite démonstration pianistique de maître "Liszt" Emerson. Les instrumentaux "The Barbarian" et "Tank" s'écoutent encore mais sans plus et le peu qui reste me paraît nettement moins intéressant et un tantinet daté. Et il faut aimer les claviers en tout genre.

Bref, dans ce correct album, Emerson, Lake et Palmer avaient déjà pratiquement tout dit et depuis les deux premiers sont partis au paradis des progueux. Paix à leur âme.

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l'image du jour
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Les moments les plus délicats de la longue
et merveilleuse histoire du rock progressif !



Emerson vérifiant si Lake et Palmer sont toujours là.