Ellesmere
Stranger
Skies
(2024)
En
cette lumineuse journée,
cher lecteur unique et assidu
qui vient lire mes chroniques
musicales de trucs peu connus,
et je t’en sais gré,
je te propose un jeu, étant
donné qu’il y a
bien longtemps que je n’ai
plus pratiqué ce sympathique
exercice ici même sur
effet larsen, expression
qui signifie en chhattisgarhi
: plus interactif que lui,
tu meurs.
Donc,
regarde bien la pochette et
réponds au QCM ci-dessus
:
Quel est le style de la musique
proposée dans ce disque
?
1.
du rap
2. du death metal
3. du prog
Eh
bien oui, tu as gagné
! Il s’agit bien de PROG
!!!
Et
Ellesmere est un collectif qui
s’est réuni dans
le but peu glorieux d’en
faire et cela de la façon
la tristounette possible, c’est
à dire en restant fidèle
au cahier des charges.
Du coup, Stranger skies
est bien usiné, propret,
possédant un son avec
lequel j’ai du mal et
un chanteur sans caractère.
Il n’y a aucune fraîcheur,
pas d’idées ou
si peu, des mélodies
bien pauvres, des chiées
de clichés et bien sûr
la fameuse pochette que l’on
doit à un disciple de
Roger Dean, le célèbre
peinturlureur d'un genre musical
dont le grand Beethoven aurait
dit un jour : « le
prog est au-delà des
mots »…
Mais bon, ça reste à
démontrer car il était
sourd.
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un
autre grand
moment de musique
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Beethoven
cale sur une définition
de ses mots croisés
!
- Plus grand musicien
de tous les temps,
en 6 lettres ? Euh,
non !… En 9
lettres, j’aurais
trouvé sans
problème mais
là, franchement,
je vois pas !
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