Eels, c’est un certain
Mark Oliver Everett et comme
c’était trop long
pour entrer sur la pochette
vu la grosseur des lettres il
se fait appeler "Eels"...
ou peut-être pas et puis
on s'en fout.
En
fait, Eels, c’est de la
pop un peu rock à l’ancienne
avec une bonne ambiance, des
mélodies sympatoches,
tout en retenue, avec un Mark
Oliver qui a une voix très
supportable, raconte des trucs
pas forcément chiants
et le disque est un produit
idéal par ces temps de
chaleur.
C’est cool et un peu toujours
pareil quand même mais
agréable avec ce rien
de mélancolie qui, comme
l’affirmait un écrivain
d’antan, est le plus légitime
de tous les tons poétiques.
Qu’est-ce à dire
?
J’en sais rien, c’est
juste là pour que la
chronique soit un peu plus longuette
et se termine de jolie façon.