L'eau
vive
François Villiers (1958)
Dans
la série y-a-toujours-un
vieux-truc-dont-on-peut-écrire-quelques-lignes
voici en ce jour cinématographique
un film tourné il y a des
plombes, vers là bas, pas
loin des montagnes où coule
maintenant paisiblement la Durance.
En effet, de Durance, il est question
dans ce film car il s'agit de la
construction du barrage de Serre-Ponçon
qui sert de décor à
une histoire banale d’héritage.
On y trouve des troupeaux de moutons
qui traversent les chantiers où
évoluent d’énormes
engins et pour faire avancer ces
gentils ovins on leur cogne dessus
et alors ils continuent pour descendre
dans les méandres du fleuve
sur les cailloux et le gentil berger
avec la sympathique fille pêchent
avec des filets dans trois centimètres
d'eau.
On y trouve aussi les parents proches
de l’héritière
qui ne véhiculent que d’éternels
clichés et des personnages
qui ont soit l’accent du terroir
(normal) et d’autres aucun
(accent).
Avec en malus quelques considérations
banales de Giono (lui-même)
qui contribua à cette œuvre
et quelques scènes ridicules
et une belle fin vite arrivée
dans un film sans grande valeur
ni profondeur ou émotion.
Au final, je n'y ai pas trouvé
grand chose d'intéressant
mais il y avait une agréable
musique à la guitare sèche
et quelques belles images d’immenses
troupeaux qui avançaient
tel un fleuve apaisé dans
un paysage de pierre.
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un
autre grand moment
de cinéma
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Les
scènes les plus émouvantes
de la longue et
merveilleuse histoire du
septième art !

Voici deux Fous de
Bassan se retrouvant avant
d'entamer leur long voyage
vers des lieux plus
cléments dans "Le
peuple migrateur 2".
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