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N'a pas fait
qu'un requiem

Dvorák - Harnoncourt (dir.)
Stabat Mater (2008)


Dvorák est un musicien qui a composé un Requiem et un Stabat Mater. Exactement comme Julien Doré... ou peut-être pas.

Ce Stabat Mater a été enregistré, dirigé par Nikolaus Harnoncout (c'est lui sur la pochette) la même année que "T’as vu" de Fatal Bazooka, comme quoi il y a des moments où tout peut arriver, musicalement parlant, bien sûr.

Le Stabat Mater de Dvorák est une œuvre composée en 1877 après une suite assez étonnante de drames familiaux chez ce musicien tchèque dont le vrai prénom est Antonin et non Anton alors que Julien Doré se prénomme bien Julien.

Ce Stabat Mater touche beaucoup évidemment. La souffrance est bien suggérée, loin de tout minimaliste, et sans tomber réellement dans l’excessif non plus. Les tourments de l’âme humaine y sont exprimées mais de façon parfois un peu appuyée et on y retrouve l’important aspect romantique de l’oeuvre de Dvorák.

Du coup, je te renvoie à son Requiem qui évolue dans la même esthétique et dont j’ai fait une chronique ici même sur effet larsen, le site dont l'immense artiste Thom Yorke aurait dit : « J’aime beaucoup ce qu’ils font ! »

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un autre grand
moment de musique
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Les instants les plus fendards de la variété britannique !



Un gars de l’ex-meilleur groupe du monde recevant une merde
en récompense pour sa belle carrière a bien fait marrer le
chanteur d'un autre ex-meilleur groupe du monde.