Dvorák est un musicien
qui a composé un Requiem
et un Stabat Mater. Exactement
comme Julien Doré...
ou peut-être pas.
Ce Stabat Mater a été
enregistré, dirigé
par Nikolaus Harnoncout (c'est
lui sur la pochette) la même
année que "T’as
vu" de Fatal Bazooka, comme
quoi il y a des moments où
tout peut arriver, musicalement
parlant, bien sûr.
Le Stabat Mater de Dvorák
est une œuvre composée
en 1877 après une suite
assez étonnante de drames
familiaux chez ce musicien tchèque
dont le vrai prénom est
Antonin et non Anton alors que
Julien Doré se prénomme
bien Julien.
Ce Stabat Mater touche beaucoup
évidemment. La souffrance
est bien suggérée,
loin de tout minimaliste, et
sans tomber réellement
dans l’excessif non plus.
Les tourments de l’âme
humaine y sont exprimées
mais de façon parfois
un peu appuyée et on
y retrouve l’important
aspect romantique de l’oeuvre
de Dvorák.
Du coup, je te renvoie à
son Requiem qui évolue
dans la même esthétique
et dont j’ai fait une
chronique ici même sur
effet larsen, le site
dont l'immense artiste Thom
Yorke aurait dit :
« J’aime beaucoup
ce qu’ils font ! »
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un
autre grand
moment de musique
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Les
instants les plus
fendards de la variété
britannique !
Un gars de l’ex-meilleur
groupe du monde recevant
une merde
en récompense
pour sa belle carrière
a bien fait marrer
le
chanteur d'un autre
ex-meilleur groupe
du monde.
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