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CHRONiQUES MUSiCALES

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Un requiem, un

Dvorák - Amin Jordan (dir.)
Requiem (1981)

 

 

Moi... oui je commence par "moi", je suis ainsi fait, je passe en premier et même avant Dvorak qui ne se prononce pas dvorak mais dvorjak. Si tu dis dvorak dans une réunion d'intellos mélomanes tu risques de passer pour un beauf, bien qu'entendre un beauf citer Dvorak c'est aussi étonnant que de l'entendre disserter sur la Sérénade n° 2 pour vents, violoncelle et contrebasse en ré mineur qui est aussi de Dvorak alors que la fourme est d'Ambert...

Qu'est-ce que je disais déjà ?

Ah oui, je commençais par "moi"... Donc moi, je n'aime guère la musique romantique, gros truc qui larmoie et dégouline, coulant de pathos tant et plus avec un son qui ne convient guère, genre qui à l'usage a le don de vite m'exaspérer. Et si la musique romantique ne me sied pas forcément, j'adore les Requiem. Et ça tombe bien car Dvorak en a écrit un, comme tout un chacun où presque. Mais ce n'est pas le meilleur, loin s'en faut.

La version que jai écoutée est celle dirigée par Armin Jordan. Bon, je ne peux pas te dire si c'est la meilleure interprétation, ce qui est fort regrettable, je m'en excuse, car tu dois savoir que la direction est importante en classique mais je ne vais me farcir toutes les versions de ce Requiem d'autant plus qu'en fait je n'aime guère celui de Dvorak qui aligne les poncifs et ne me procure pas la moindre émotion. Mais bon, c'est un avis tout à fait personnel.

Le brave Antonin a composé ce Requiem paraît-il pour réfléchir sur les questions préoccupantes de l'existence humaine. Y'avait de quoi faire ! Mais, moi, je subodore qu'il l'a fait juste pour faire un requiem.

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un autre grand
moment de musique
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Touche-à-tout de génie, Steven Seagal est aussi musicien.
Le voici quelque peu remonté contre le gars qui lui avait
chouravé sa gratte un jour juste avant un concert !

- T'as intérêt à me dire où tu l'as planquée
ou je te fais un Haishu-uchi.