Dream
Theater
Metropolis
Pt.2 : Scenes From A Memory
(1999)
"Metropolis"
est l'album le plus accessible
de la bien trop loooooooooooooooooooooooooooooooooooooongue
disco de Dream Theater. Les
mélodies y sont plus
réussies qu'ailleurs.
Mais malgré tout, ça
reste Dream Theater...
C'est
quoi Dream Theater pourrais-tu
demander, toi qui viens de passer
trente piges avec des boules quies
dans les portugaises ?
Eh bien, Dream Theater, c'est
du metalo-biscoto-emberlificoco-mégalo-pas-rigolo-prog.
Les gars, ils croient qu'on ne
sait pas qu'ils savent jouer,
c'est sûr. Du coup ils en
font des tonnes. Et si cet album
en jette dès les premières
écoutes, il faut bien reconnaître
qu'à l'usage, il épuise
un peu.
Et pourquoi aussi faire compliqué
alors qu'on pourrait faire simple,
rajouterais-tu ? J'avoue que ce
n'est pas con comme question.
Je m'excuse de te le dire mais
Dream Theater, ce n'est souvent
que des petits bouts fadasses
qui s'agrippent à une big
boulette d'esbroufe et aussi une
branlette exhibitionniste où
ça gicle dans les esgourdes
comme dans les atroces "Strange
déjà vu", "The
dance of eternity" et "One
last time". Ventrebleu, que
c'est vulgaire !
Et il eut été plus
judicieux que le groupe, lucide,
après cet album, changeât
de chanteur et se la jouât
plus humble... Ils ne l’ont
pas fait car ce n'aurait plus
été Dream Theater,
j'avoue que c'eut été
dommage...
Bref,
dans une collection d’étonnantes
œuvres qui peuvent interpeller,
même si je n’ai pas
tout écouté du groupe
(faut pas déconner, quand
même), celui-ci me semble
être leur meilleur. En plus
il a un concept des plus intelligents
dont tu peux tout savoir en cliquant
ci-dessous sur la tête de
LaBrie... ou de Portnoy, c'est
comme tu veux...
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