Dickinson est le préposé
aux vocaux tonituants... pardon...
truants dans un groupe dont je
n’aime pas grand-chose mais
je me suis dit que malgré
tout je me devais d'écouter
ce disque car faire un truc en
solo c’est vouloir se démarquer
de son combo habituel même
si le gars est un chanteur éreintant
(et c’est presque un euphémisme).
Eh bien, ici, le Bruce, pas forcément
tout puissant, ne va pas bien
loin et on reste dans le banal
d'un genre par ailleurs assez
limité et tout plein de
stéréotypés
pénibles avec en bonus
(si l'on peut dire) ce sempiternel
bourrin vite insupportable au
fil de trop nombreux titres identiques...
Mais,
à la fin, le gars, sympa,
nous gratifie de deux titres très
longs et un peu plus dans l'apaisé,
avec bien sûr les vocaux
toujours aussi "incertains",
pas loin de la ballade et s’approchant
des rivages du plus grand groupe
de metal bodybuildé fendard
du monde, le nommé Manowar
qui signifie en francique lorrain
: ceux qui
faisaient de la gonflette tous
les matins pour atteindre à
la perfection.
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l'image
du jour
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Les
moments les
plus magiques
du heavy-metal
!
Un
gars de Manowar
faisant l’autre
matin de la
gonflette sous
le regard admiratif
de ses congénères.
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