Dessiderium
Keys
To The Palace
(2025)
Jusqu'à présent
t'avais d'un côté
le deathmetal, eh ouais. Il
ne pouvait guère postuler
au titre de musique du siècle
(celui d'avant et celui de maintenant).
De l'autre côté,
t'avais le metalprog, re-ouais.
Il n’avait que peu de
nuance à part l'aspect
vocal aussi moche mais... euh...
différent.
Maintenant tu as le deathprogmetal
comme la rencontre improbable
entre les deux qui faisaient
tout ce qu'ils pouvaient pour
que plus personne ne les écoute.
Et
ainsi existe "Keys to the
palace", avec sa pochette
très néo-prog,
sorte de sinistre bâtard
de genres musicaux déjà
bien peu engageants qui malgré
leur énergie n'ont pas
encore réussi à
tuer la musique comme ce Dessiderium
qui bien que catalogué
le plus sérieusement
du monde sur un site comme "visionnaire"
(!?!) n’arrive pas plus
que les deux autres à
ses fins malgré toute
la pugnacité qu'il peut
avoir à le faire.