Pierre 
                                                Desproges 
                                                Chroniques 
                                                de la haine ordinaire  
                                                volume II textes inédits 
                                                (2004)  
                                               
                                                 
                                                Après en avoir fini avec 
                                                les Giono (il y en avait d'autres 
                                                encore dont je ne trouvais rien 
                                                à écrire) me voici, 
                                                cher lecteur, en ce triste jour, 
                                                arrivé aussi à la 
                                                fin des Desproges (il y a bien 
                                                quelques autres mais ils ne m’inspiraient 
                                                pas vraiment). 
                                                 
                                                Avec celui-ci, on reste au niveau 
                                                du premier "Haine ordinaire" 
                                                mais un ton en dessous d’autres 
                                                bouquins de Desproges même 
                                                s’il s’en prend encore 
                                                aux connards (surtout les connus 
                                                bien sûr) et se lance dans 
                                                quelques sujets de réflexion 
                                                liés au quotidien (ça 
                                                ne manque pas) avec une belle 
                                                maîtrise dans l’écriture, 
                                                du sarcasme, de la lucidité, 
                                                pas mal d’humour comme d’hab 
                                                et avec quelque sujets un peu 
                                                creux quand même. 
                                                 
                                                La citation : 
                                                 
                                                 
                                                La 
                                                rumeur, c'est le glaive merdeux 
                                                souillé de germes épidermiques 
                                                que brandissent dans l'ombre les 
                                                impuissants honteux.
                                              
 
                                                   
                                                    _____________________________________________________________________________ 
                                                       l'image 
                                                        du jour 
                                                        _____________________________________________________________________________ 
                                                         
                                                        
                                                        
                                                           
                                                             
                                                               
                                                                Un 
                                                                  jour, on ne 
                                                                  sait pas comment 
                                                                  cela a pu se 
                                                                  faire, en tout 
                                                                  cas,  
                                                                  Jean Giono rencontra 
                                                                  Pierre Desproges 
                                                                  ! 
                                                               
                                                               
                                                                  
                                                                   
                                                                   
                                                                  - 
                                                                  Oh, Pierre, 
                                                                  c’est 
                                                                  vous ? 
                                                                  - Etonnant, 
                                                                  non ? 
                                                                   
                                                                   
                                                               
                                                         |   
                                                       
                                                 |   
                                               
                                               |