Crown Lands va chercher son inspiration
du côté du hard-rock
des seventies. Soit, un chouïa
chez les premiers Queen, un peu
plus chez l’ex-groupe des
Page et Plant et pratiquement
tout chez RUSH, son père
spirituel, si j’ose dire.
Du coup, pas du tout informé
de la chose avant écoute,
et n’étant pas particulièrement
porté sur les combos cités
plus haut, je me trouve forcément
peu réceptif à force
d’avancer dans l’écoute.
Et ce, d’autant plus que
le duo joue sur la seule énergie,
le bruit pour le bruit, la complexité
vaine pour être compliqué,
bref : la forme sans le fond.
Au final, avec peu de personnalité,
pas vraiment d’idées
nouvelles à proposer, un
feeling qui le fuit et en malus
comme chez Rush un chant vraiment
peu agréable, sans réel
attrait et assez pénible
à la longue, cet album
déjà pas mal passé
après une écoute
m’a paru plutôt vain.
| _____________________________________________________________________________
LA
CRitiQUE D'UN AUtRE DiSQUE
DE 2023
_____________________________________________________________________________
|
Redneck
Gasoline
Suckerpunch
... sudistes scandinaves
!... .
|
|