Cléopâtre
Cecil
B. DeMille (1934)
"Cléopâtre"
est axé sur la vie sentimentale
de Cléopâtre (c'est
Claudette Colbert), alors elle prend
des poses lascives, à moitié
nue, et allume tous les gars qui
passent, pourvu qu'ils aient du
pouvoir. Elle chauffe donc Jules
qui est récalcitrant jusqu'à
ce qu'elle lui fasse miroiter l'Inde.
Parce que le sexe, c'est bien, mais
empereur du monde, c'est mieux.
Seulement il a trahi Rome alors
il se fait dézinguer au Sénat,
toi aussi mon fils. Marc Antoine
prend sa place. Cléopâtre
le chauffe et il n'est pas récalcitrant.
Seulement il a trahi Rome alors
Octave déclare la guerre
à l'Egypte. Et là,
je vous ai raconté tout le
film. De fait, "Cléopâtre"
n'est pas un exemple de scénario
bien ficelé ni de séquences
surprenantes. D'ailleurs on s'en
souvient surtout pour ses décors,
ses costumes et la façon
avec laquelle DeMille titilla le
code Hays naissant en dénudant
au maximum ses actrices et en balançant
de l'érotisme autant qu'il
le pouvait.
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un
autre grand moment
de cinéma
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Touche-à-tout
de génie, James
Hetfield est aussi acteur.
Le voici
jouant Ramses ll dans
le remake de "Les
dix commandements"
!
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Déconne pas, Moïse,
reviens, merde !
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