City
Hunter
Yûichi Satõ (2024)
«
City hunter » est une adaptation
de « City hunter » qui
fut renommé « Nicky
Larson » en France en des
temps immémoriaux parce que
les noms américains sont
incroyablement cool.
L’histoire
réimagine les débuts
du manga, la rencontre avec Kaori,
son frère qui se fait dessouder
et l’enquête qui suit
par un Ryo pervers, mais intraitable,
affublé de la frangine, pour
dégoter un groupuscule de
tarés qui dope des gens à
l’EPO.
Le
mieux, ici, c’est l’intro,
jusqu’au générique,
c’est-à-dire une vingtaine
de minutes. C’est très
vaguement drôle, il y a de
la bagarre et c’est quand
même un peu sec, voire violent.
En
somme, c’est bien. Le reste
est une comédie d’action
de série qui ne propose pas
grand-chose de plus et où
Saeba s’en sort finalement,
comme bien des héros, non
pas parce qu’il est fort (et
il est pourtant très fort)
mais parce que les gars en face
font strictement n’importe
quoi, à 25 contre 1.
Quoi qu’il en soit, ce n’est
pas bien méchant et ça
plafonne à 1h37.

Il
y a le maillet, l'honneur est sauf.
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