Au
début de 2014, il était
de bon ton de se pâmer devant
ce cascadeur (c’est pas
un peu con comme nom ?). Fut-ce
à cause du casque comme
chez les inénarrables gars
de chez Daft Punk, le duo ultime
du niveau zéro de la pop
de supermarché ?
Eh
bien, disons que dans ce "Ghost
surfer" qui se balade dans
une pop electro-vaporeuse, sans
effet superflu ni aspect surchargé
pour rien, avec des petits côtés
Vampire weekend/Sigur Ros, il
y a bien de nombreux passages
intéressants comme "Casino",
"Standalone", "The
odyssey" ou "Kisses",
mais, parfois c’est plutôt
mièvre avec des voix pas
toujours convaincantes et des
titres assez quelconques et un
peu agaçants.
Mais cet album propose une musique
ayant une réelle personnalité
et dans sa majorité il
est plutôt plaisant sans
tutoyer quand même le génie
qu’on ne trouve pas sans
grain de folie comme disait Aristote,
le célèbre auteur
de "Météorologiques",
un ouvrage sur le réchauffement
de la planète.