Figure-toi
que tantôt j’ai écouté
Bring Me The Horizon que je croyais
ne jamais avoir écouté
alors que
je l’avais déjà
entendu même qu’il
s‘appelait Linkin Park.
Du
coup, il n’y a pas eu l'effet
de surprise escompté de
par quelque chose que je n'attendais
pas alors que ceux qui ont aimé
ce disque (ils sont nombreux,
sûrement) avaient voulu
être surpris mais par ce
qu'ils attendaient...
Bring me the horizon, c’est
quelque chose qu’on peut
appeler "metalcore"
si on veut mais pas trop "metal"
et soucieux de la mélodie,
qu'on fasse des thunes quand même.
Ce
disque très prévisible
donc s'avère vite lourd,
et même agaçant :
big guitares, vocaux méga-énervés,
voix caverneuses, gars qui hurlent
sans arrêt, tout y passe.
Bien
sûr, de temps en temps,
on calme un peu le jeu pour ne
pas risquer de perdre en route
le maximum d’auditeurs,
mais le reste du temps, les gars
ont mal, limite près de
l’explosion et de façon
vraiment peu crédible.
Bref,
cet album qui fait beaucoup de
barouf pour que dalle est finalement
plutôt vide et semble un
bon coup, c’est tout.