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L'île déserte

Georges Brassens
Georges Brassens X (1969)

 

Dans la série des-disques-que-j'emporterais-sur-une-île-déserte voici aujourd'hui un autre album de Brassens avec l'excellent "Misogynie à part" où on trouve des emmerdeuses à foison.

Il y a aussi deux textes d'auteurs mis en musique. Ce sont "Les oiseaux de passage" (extraits d’un poème de Jean Richepin) et "Pensées des morts" avec quelques passages très, euh, romantiques, d’un long poème de Lamartine.

Le "Sale petit bonhomme" qui ne portait plus d'ailes est un petit bijou de chanson comme "La religieuse" et les enfants de cœur se masturbant tout tristes mais ma préférée de ce disque reste le génial "La rose, la bouteille et la poignée de main".

Et comme le dit si bien Brassens dans un autre des excellents titres de cet album sans moment faible, on pourrait affirmer de cette oeuvre : "tout est bon chez elle, y'a rien à jeter, sur l'île déserte, il faut tout emporter".