Benjamin
Booker
Lower
(2025)
Perso,
le plus souvent c'est le nom
du groupe, la pochette, le titre
du disque qui m'amènent
vers certains disques. Et puis,
parfois, ce sont les chroniques
plutôt étonnantes
qui me font aller aussi vers
d'autres disques encore.
Ce fut le cas tantôt avec
cet album d‘un certain
Booker dont j’avoue n’avoir
jamais entendu parler alors
que j’écoute des
flopées de disques (pas
toujours en entier pour des
motifs bien compréhensibles).
Et
voici ce que j’y ai lu
sur ce Booker :
Il (le gars Benjamin) ressort
sa guitare et son esprit blues-soul
auquel il colle des aspérités
proches de la bedroom pop avec
plein d’effets lo-fi...
C’est fort, non ?
Du coup, bien sûr, curieux,
je suis allé dare-dare
vers ce "Lower" à
la vilaine pochette où
Booker propose un disque plus
intéressant que j'aurais
pu le penser car original comme
plein d’une sorte de thèmes
pop-rock bourrés d’effets
divers de grattes, batterie
et autres derrière sa
voix fatiguée et sûrement
trafiquée.
Et, comme le disque dure à
peine 41 minutes, j’y
trouve logiquement moins de
mochetés que par exemple
dans "Parasomnia",
sorti presque le même
jour, qui fait ses 1 h 11 et
dont je devrais peut-être
écrire quelque chose...
Et puis, non !