Figure-toi cher lecteur fan de
heavy metal que le gars Blaze
me fait penser dans cet album
à un ineffable combo dont
je préfère pas dire
le nom mais sache quand même
pour t'aider un peu qu'il commence
par un I et se termine
par ronmaiden et signifie
en vieux fidjien : ceux qui
ont les boules quand on les décore
de guirlandes pour Noël.
Et
tu sais pourquoi il me fait penser
à l'autre non-susdit ?
Eh bien parce qu’il a fait
partie du groupe avant le retour
de l’autre... comment il
s‘appelle déjà
? Si tu le sais, tu peux m’écrire,
je rajouterai son nom sur cette
chronique.
Bon, Bayley a une voix rigolote
mais bien moins crispante que
le hurleur du groupe non sus-dit
et quand même un peu semblable.
C’est normal, me dirais-je,
car quand j’écris
ces chroniques je suis seul, c’est
un chouïa dommage.
L'ensemble de ce disque est donc
pas loin du célèbre
groupe à la carrière
un peu longuette et aux pochettes
quand même fendardes avec
les titres plutôt rapides,
les ballades sympas, les solos
de guitares téléphonés
mais nécessaires, la pêche
certaine, la super pochette qui
va avec et le hurleur marrant
comme il se doit.
Bref, voici un disque de heavy
metal très bateau, tout
dans les canons du genre et qui
compense le manque flagrant de
personnalité par une certaine
énergie et qui peut ne
pas plaire forcément qu’aux
seuls fans du groupe de Dickinson...
tiens, ça y est son nom
me revient !
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la
chronique d'un autre
album de 2024
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10,000
Volts
Ace Frehley
...1
volt...
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