Barry
Lyndon
Stanley
Kubrick (1975)
Dans
"Barry Lyndon", il y
a des décors d'enfer, une
photo démoniaque (les fameuses
scènes uniquement éclairées
à la bougie), une composition
du cadre diabolique (les acteurs
prennent la pose devant les décors
d'enfer) et bien sûr, la
musique, avec les inévitables
trio pour piano de Schubert et
Sarabande d'Haendel, désormais
indissociables du long métrage
de Kubrick. "Barry Lyndon",
c'est aussi trois heures de film
en deux parties : l'ascension
(1h38) et la décadence
(1h16) de Redmond Barry. La première
partie (celle que je préfère)
est picaresque à souhait.
Barry traverse les contrées,
fait la guerre dans tous les camps,
rencontre de belles hollandaises
esseulées et comme il est
un arriviste d'un très
grand opportunisme, il arrive
à l'entracte sans trop
de soucis. Ensuite il s'achemine
vers sa perte car sa réussite
prodigieuse l'a fait passer du
rang de vagabond sympa à
celui de connard d'aristo. Du
coup on l'aime moins, Redmond
Barry.
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un
autre grand
moment de cinéma
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Une
des scènes les
plus impressionnantes
de la longue
et merveilleuse histoire
du film d'action !

-
T'as super mal, là,
hein, Rambo ?
- Ouais, surtout quand
je rigole.
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