Ballerina
Len Wiseman (2025)
"Ballerina"
a un titre promotionnel : "De
l'Univers de John Wick :
Ballerina". Mais était-ce
préférable à
ce titre-ci :
"De l’univers de
Francis Cabrel : Pour
elle le pas des ballerines,
pour moi le vol noir des corbeaux"
? Absolument pas ! Par contre,
je suis sûr de ce que
signifie le titre promotionnel
: On n’a pas d’idée
alors on fait John Wick mais
avec une femme. Et puis elle
est ballerine, mais pendant
une seule scène et encore
a-t-elle du mal.
Bref, John Wickette alias Eve
est ici Ana de Armas qui était
alors environ à peu près
la plus belle femme du monde.
Et forte de ses 55 kilos (avec
chaussures), elle dégomme
tous les malabars de la création,
file des beignes aux tueurs
les plus aguerris et flingue
à tout va la crème
des assassins, le tout pendant
1h30, non-stop, après
s’être entraînée
à la dure pendant 30
minutes, il fallait bien ça.
Je dis "non-stop",
mais je crois qu’elle
s’arrête un peu
à un moment parce qu’elle
a un couteau planté dans
le dos.
Mais comment peut-elle être
aussi forte ? Eh bien son bras
est guidé par la vengeance
! (mazette) car Gabriel Byrne,
dans un rôle incroyablement
sensible, a fait buter son père.
Derrière la caméra,
Len Wiseman n’apporte
pas grand-chose à la
recette si ce ne sont un duel
au lance-flammes et un combat
au corps à corps à
la grenade, ce qui peut être
original, certes, mais ne veut
pas dire grand-chose.
Oui, un duel de lance-flammes.