Baby
Assassins : Nice Days
Yugo Sakamoto (2024)
Mahiro
et Chisato prennent du bon temps
à Miyazaki et même
carrément sur la plage
d’Aoshima. Non pas que
ce soit important, mais soyons
précis. Au même
moment, un tueur doit remplir
son dernier contrat qui se trouve
être le même que
celui de Mahiro et Chisato.
Comme les deux larronnesses
laissent filer leur cible, notamment
parce qu’elles ont maille
à partir avec le tueur
susdit, elles se retrouvent
avec un couple sur les basques,
envoyé par leur employeur
pour les aider à se ressaisir.
Enfin, il aura fallu trois films
pour que Sakamoto fasse ce qu’il
aurait dû faire dès
le début : un film d’action
dont le fil conducteur est réellement
conducteur. Si les fusillades
manquent un peu de dynamisme
(ou de sérieux et sont
dans un vague style à
la John Wick), les bagarres
sont toujours plutôt bien
menées et originales,
notamment grâce à
l’ineffable Saori Izawa
qui est le meilleur personnage
de la série. Et si vous
pensez en avoir fini, détrompez-vous,
il y a également une
série « Baby assassins
».
La
bonne idée du combat
dans la serre.
