Avantasia, c’est un projet
d’un certain Tobias Sammet
qui a joué, il l’a
fait exprès sûrement,
dans l’indicible combo nommé
Edguy que j’ai dû
écouté une fois
dans un moment sûrement
d’errance, et ce cher Tobias
a invité des chanteurs
proches de son truc pour s’égosiller
tant et plus.
Et
c’est quoi donc que cette
histoire de dragons, hein, ho
?
Eh
bien, C’est du power-metal
mélodique... pardon...
melodic. En fait sous cette jolie
appellation, il n’y a rien
d’autre que de la pénible
variétoche avec des effets
un peu metal rajoutés pour
faire encore plus moche et en
malus l'intervention dans un titre
du chanteur de Queensrÿche,
un autre truc étonnant.
Pas loin d‘être comme
le triste relent d'une sorte de
recueil rance de chansonnailles
façon eurovisionnées
du siècle dernier, cet
album désolant entre Rhapsody,
Stratovarius, Gamma Ray et des
dragons, est vite insupportable
d’autant plus qu'on a eu
le mauvais goût d’y
rajouter des tonnes de chœurs
à clamser.