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Pourquoi pas Privas?

Jean-Louis Aubert
Stockholm (1997)

 


Aubert, qui se fit connaître comme proposé aux vocaux en tant que petit Jagger franchouillard dans un groupe de pop-rock de par chez nous, sort "Stockholm" en 97, enregistré... eh oui, à Stockholm.

Rappel des faits pour remplir un peu, tu veux ? La vie d’Aubert te passionne ? Bon j’y vais.

Donc, le Jean-Louis avait noté quelque part de superbes mélodies, des paroles très poétiques pour de futures chansons de qualité d’un bel album qui aurait été génial mais dont on ne saura jamais le titre. Quel dommage.

Et ne voilà-t-il pas qu’un jour, je ne sais plus le temps qu'il faisait, quelqu’un (un fou ?) vole tout, les superbes mélodies écrites, les paroles très poétiques. Merde, alors !

Du coup, Jean-Louis craque, on le comprend. Alors il décide de partir à Stockholm (pourquoi pas Privas ou Brioude ? Je n'en sais rien) pour se reconstruire un moral et tout refaire, mais bon, c’est difficile !

Au final, l’album est bien sûr moins bon que ce qu’il aurait dû être, normal. Aubert y propose une voix sans le moindre attrait, des recherches musicales où on se demande ce qu’il a bien pu rechercher dans une oeuvre bien longuette. Ça traîne, c’est filandreux, c’est pseudo-expérimental, ce n'est rien ou pas grand-chose.

Bref, pourquoi être allé si loin pour si peu ? On peut se poser la question.