April Art, c’est un groupe
avec une chanteuse (c’est
elle sur le canasson... enfin,
je crois).
Je
t'explique :
Rodeo,
c’est donc une femme se
déchaînant en même
temps qu'une rythmique, et ça
cogne un max sur la caboche du
pauvre gars (moi) qui se farcit
cet
album... euh... excité.
Tu
me dirais : mais,
c’est donc du metalcore,
ce truc ?
Peut-être, t’aurais-je
répondu. En fait, c’est
usiné pour être accessible,
un max téléphoné,
direct, sans recherche quelconque,
tellement que je te dirais que
c’est de la pop-metal...
mais gueularde avec parfois une
guitare soliste comme dans le
hard-rock (bonus) et des choeurs
marrants (bonus aussi) comme dans
le power metal.
Le problème, c'est que
la Miss éreinte furieusement
les pavillons, irrite, épuise
même et j’ai vite
du mal à écouter
d'autant plus que même si
les April Art font un max au niveau
du boucan, ils se sont pas foulés
question variété
dans le propos.