La première fois que j'ai vu ce film, c'était en mai 2001 au Gaumont Comédie de Montpellier. La seconde fois, c'était aujourd'hui. Depuis toutes ces années, je n'avais presque rien oublié. Bénichou et sa boîte en fer, le nain de jardin voyageur, Pinon et son magnétophone, Nanty hypocondriaque et Kassovitz en collectionneur de photos de photomaton. C'est toujours bien parce qu'unique avec un peu de poésie et un peu de nostalgie dans un Paris tout vert. Je précise que le film y gagne lorsqu'on connaît les mélodies de Tiersen (les deux versions de "la valse d'Amélie", "la comptine d'été n°2", "Les jours tristes" en version instrumentale etc.) comme dans "Goodbye Lenin".