Amarok 
                                                  dont le rapport avec Mike Oldfield 
                                                  reste à démontrer 
                                                  est un groupe polonais qui fait, 
                                                  soi-disant, du prog. 
                                                  
                                                  Encore un ? me dirais-tu, et 
                                                  tu aurais raison, ça 
                                                  fait beaucoup.
                                                  
                                                  Et celui-ci est-il meilleur 
                                                  que les précédents 
                                                  venus de cette Europe de l'est 
                                                  qu'elle est lointaine que du 
                                                  coup j'y suis jamais allé 
                                                  ?
                                                  
                                                  En fait, je n’en sais 
                                                  rien étant donné 
                                                  que le prog made in Poland, 
                                                  c’est pas vraiment mon 
                                                  truc. Certes, j’ai bien 
                                                  écouté Riverside 
                                                  et Lunatic Soul mais ils furent 
                                                  loin de me transporter et sûrement 
                                                  pas en Pologne.
                                                  
                                                
En 
                                                  fait, la question ne se pose 
                                                  même pas car Amarok propose 
                                                  un album qui n’est pas 
                                                  vraiment du prog mais plutôt 
                                                  du rock-pop qui progue un peu 
                                                  par moments.  
                                                
L’ensemble 
                                                  est assez facile d'accès, 
                                                  parfois même mièvre 
                                                  ou carrément creux, avec 
                                                  des vocaux un peu tièdes 
                                                  et quelques thèmes proches 
                                                  de trucs comme Arena (en moins 
                                                  costaud), le tout sans vraiment 
                                                  déclencher ces frissons 
                                                  dont Jul disait que s’il 
                                                  n'en restait aucun l’horreur 
                                                  reviendrait, mais, bon, c’est 
                                                  peut-être pas lui qui 
                                                  l’a affirmé.
                                                  
                                                  Au final, un peu fade et sans 
                                                  grande pertinence, cet album 
                                                  est un autre disque de pseudo-rock 
                                                  prog. Ça fait pas un 
                                                  peu beaucoup ?