Alice
Cooper
Road
(2023)
Non,
je ne vais te faire le coup
de l’auditeur qui se pâme
béatement devant l’éternelle
présence de ces vieux
rockeurs blanchis sous le harnais
en lançant des trucs
du style : ouais, c’est
génial le mec qui a plus
de soixante et dix balais continue
de se la jouer excité,
énergique, tout dans
l’éternelle rebellitude,
on the road, tel un
autre lggy Pop ou Waters…
non, là, pour le dernier,
ça va pas.
En fait dans ce disque d’Alice
Cooper (de son vrai nom :
Gérard Krénios),
ce qui m’interpelle, c’est
la voix sans réel feeling
du gars ; vite lassante et qui
réussit à me faire
me questionner sur un disque
par ailleurs pas mauvais en
soi avec des musicos qui sont
leur bien leur taf. C’est
musclé, bien envoyé,
peu varié, certes, c’est
le genre qui veut ça
et il aurait pu largement me
convenir…
mais bon…