Dans
la série il-y-a-toujours-un-duo-naze-de-french-touch-dont-on-peut-écrire-quelques-lignes,
voici en ce joyeux jour, un
album de AIR dont je ne ferai
aucun jeu de mots foireux sur
le nom de ce duo.
AIR, disons-le tout de suite,
c’est de la musique d’ascenseur.
Mais en outre ?
Eh bien, puisque tu insistes,
c'est électronique, dit-on.
En tout cas, sans âme,
vide, triste avec des vocaux
horribles passés dans
une sinistre moulinette, le
tout avec en malus une minuscule
tentative foireuse d’aller
le rock. Et toujours des sons
soporifiques, laids et piqués
ça et là dans
le pire de la musique électronique
des seventies, de jeux vidéos
de l’autre siècle
et de quelques dessins anémiés
nippons d’antan.
Bref,
AIR, ça frise le néant,
tout juste bon à se la
jouer comme fond sonore digne
d’accompagner une quelconque
recette de cuisine sur you tube...
A cet instant de cette chronique,
tu me dirais qu'en fait il s'agit
de "raretés"
et non pas d'un vrai album et
que je devrais peut-être
retourner écouter autre
chose de ce dynamique duo.
Non, mais, et puis quoi encore
?
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la
chronique d'un autre
disque de 2024
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Cloud
Sculptors
Full
Earth
...
instru ...
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