Ce
fut le dernier du groupe - il
était temps vu les précédentes
parutions - et le premier avec
un guitariste (Santana, en l’occurrence,
qui intervient dans deux titres
très jazz-rock (celui
qui débute l'album est
le meilleur du disque)).
Il est écrit sur la pochette
qu’il y a encore Wayne
Shorter au sax, je veux bien
et, quant au reste du disque,
il s'agit d’une pop jazzy
chaloupée et chantée
façon caraïbes tout
à fait quelconque et
en malus pleine de claviers
mièvres.
Après ça, Zawinul
partit faire pire :
ça s‘appelait The
Zawinul Syndicate.