Perso, j’aime les trucs
qui ont des noms qui en jettent.
UNITED PROGRESSIVE FRATERNITY,
c’est génial, non
? Et tellement que je n’ai
pas pu passer outre cet album,
d’autant plus que la pochette
s’y met aussi.
UNITED ? Oui, peut-être.
PROGRESSIF ? Sûrement pas.
FRATERNITY ? sans doute…
Encore qu’il paraît
étonnant que dans cette
bien trop nombreuse "fraternité"
il n’y ait pas eu un seul
gars lucide et fraternel pour
réagir face à la
chose, mais bon, on sait tous
que le nombre, c’est dangereux
et que dans la multitude on y
perd beaucoup de soi, de ses idées,
sa personnalité et même
son libre arbitre.
Bref, ce disque, où les
gars ne sont pas bien sûr
tous intervenus en même
temps, a un aspect "cohorte"
qui n’excuse rien et il
est très loin d’être
plaisant. On s’y ennuie
tout du long dans une médiocrité
qui peut interpeller avec une
inspiration qu’ils n’ont
pas trouvée, ils n’ont
pas dû bien chercher alors
que le nombre, cette fois, aurait
dû être un avantage.
En plus, ça s’appelle
« hope » !