E.T.
Steven
Spielberg (1982)
Spielberg
est un mec fendard. Il vient te
dire qu'il a revu le film avec
sa famille et que "c'est
super de le revoir, ça
n'a pas vieilli" ; même
que, dit-il, "E.T."
comme "un bon Bordeaux s'améliore
avec l'âge", et toi,
quand tu mates le dvd, tu te rends
compte que le petit monstre a
été refait en images
de synthèse fin 90's qui,
aujourd'hui, paraissent bien vieilles.
Eh oui, Steven, fallait pas y
toucher à ton film. Plutôt
que de nous proposer un truc du
début des années
80, ce qui serait la vérité,
tu nous proposes un truc des années
90, ce qui ne veut rien dire.
Bref...
dans "E.T." il y a une
créature qui parle comme
une petite vieille et qui te rapporte
tes m&m's quand tu les paumes
dans la forêt. Ses potes
sont repartis sans lui alors il
se cache dans le jardin d'Elliott.
Elliott, lui, n'a pas de père
parce que l'éclatement
de la cellule familiale, c'est
un classique. Seulement un méchant
type avec un trousseau de clés
à la ceinture veut disséquer
l'extra-terrestre comme une grenouille.
Heureusement que les enfants sont
beaucoup plus malins que les adultes.
Evidemment
c'est niais au possible, jusqu'à
la musique de Williams et si certains
films sont interdits en dessous
d'un certain âge, celui-ci
a une interdiction au dessus de
dix ans.
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LA
CHRONiQUE D'UN AUtRE
FiLM DE StEVEN SPiELBERG
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Rencontres
Du Troisième
Type
Steven
Spielberg
...
manque
de substance
...
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