DGM, c’est d’abord
du prog comme des trucs d’avant
du genre de chez ELP, Yes, UK,
King Crimson et peut-être
d’autres dont je ne me souviens
plus.
Après, les gars de chez
DGM mettent vite du hard-rock
dans leur CD, pourquoi pas me
dirais-tu ? Et du coup ça
devient peut-être du metal-prog
?
Du metal-prog, certes, mais sans
esbroufe qui pègue ni démonstration
qu’elle est vaine, plutôt
le genre qui harde rocke symphoniquement
pour une œuvre bien réalisée
où les gars (le chanteur,
surtout) font le maximum.
Mais,
comme ça manque quand même
un peu d’originalité,
j’ai souvent un peu de mal
à accrocher, comprenant
vite ce que je vais écouter,
mais, bon, j’ai quand même
bien fait de rester jusqu’au
bout car ça se termine
plutôt bien par un long
titre rockproghard symphonique
qui assure.