D'il
y a déjà plus de
dix piges entre autres abominations
pseudo-rock, avant de tomber de
Charybde en Scylla, je suis tombé
sur B.B. Brunes.
B.B. Brunes, c’est du "rock
français".
Déjà, rien que l’appellation
peut rebuter et faire fuir le
plus conciliant des mélomanes.
Non pas par un quelconque snobisme
mais sur la foi d’un historique
du genre qui peut interpeller.
B.B. Brunes, c’est un rock
à la petite semaine pour
djeunes incultes (pléonasme).
Déjà rance à
la fin de la première écoute
et avec un "chanteur"
(ne pas oublier les guillemets)
assez pénible, des paroles
pleines d’acné, une
rythmique énervée
de cour de récré
et les têtes à claque
qui vont avec.
Plus Bébé Brunes
que B.B. Burnes.
Bref, un énième
renouveau du rock français
déjà passé
en attendant le suivant.
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l'image
du jour
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Les
gars de B.B. Brunes
se sont
beaucoup inspiré
des Beatles !
Surtout
pour changer de trottoir
sur Abbey Road.
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