Perso, je ne suis pas très
fan de Porcupine Wilson et d’Opeth.
Mais quand on me souffle à
l'oreille que AVKRVST (hein ?)
propose une musique qui se veut
un compromis entre les deux inénarrables
susnommés, ça éveille
ma curiosité.
Et, en effet, à l’écoute,
il s'agit bien de ce qui est signalé
ci-dessus, même que les
gars auraient pu aussi bien s‘appeler
Porcupeth, Oporcupine
ou même Opetree
mais bon, ce n’aurait pas
été terrible et
finalement ils ont peut-être
bien fait de s’appeler AVKRVST,
d'autant plus que ça signifie
en norvégien :
on n’a pas bézef
d'idées.
Bon, reconnaissons que ce disque
est plaisant... un temps, sans
originalité donc mais bien
fait. On pourrait émettre
quelques réserves concernant
les vocaux et pourquoi pas la
longueur parfois excessive de
morceaux et des changements de
rythmes peu agréables.
En outre, une certaine lassitude
créative semble s’intaller
lentement mais sûrement
en allant vers le terme du disque,
mais bon, si tous ces légères
remarques ne s'imposaient pas,
les gars ne seraient pas la concomitance
entre des groupes dont tu te rappelles
les noms, si ce n’est pas
le cas, j’aimerais bien
que tu lises mes chroniques en
entier, merci d'avance...
Bref, à quoi sert un tel
groupe pourrait-on se demander
à cet instant de cete chronique,
fort pertinente, ma foi ?
Eh bien, il serait utile s’il
était meilleur que les
deux autres ou réussissait
une superbe synthèse. ce
n’est pas forcément
le cas.
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un
autre grand
moment de
musique
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Les
instants les
plus exaltants
de la belle
et admirable
carrière
de Dream Theater
!
Mike
Portnoy retravaillant
ses fondamentaux
afin d’être
à la
hauteur pour
le prochain
enregistrement
du groupe.
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