En
avant-première
La chronique du prochain AC/DC
Aujourd'hui,
cher ami lecteur, pour innover un
peu, je te propose en avance la
chronique du prochain album du groupe,
et même si en fait il ne sortirait
jamais, peu importe, cette chronique
servira pour tous les disques d'AC/DC
que je n'ai pas pu chroniqués...
T’es
prêt ? Alors, allons-y, c’est
parti !
Le groupe AC/DC fait aujourd'hui
encore et toujours du AC/DC. Je
le vois mal faire autre chose. D'abord
les gars en seraient incapables
et en plus il ne leur resterait
plus qu'à prendre leur retraite
et vu le pèze qu'ils ont
amassé depuis des plombes,
on va pas les plaindre.
Du coup il nous rebalancent, comme
depuis des décennies, leur
hard-rock sans surprise avec beaucoup
d'habileté et un côté
fonctionnaire et photocopieur qui
me font bigrement chier.
En
plus, le gars - qui derrière
le micro imite bien le hurlement
du chat à qui on écrase
la queue - me prend la tronche.
Le préposé aux solos
de gratte me sort toujours à
peu près le même sempiternel
truc hyper téléphoné
et j'ai bien du mal à aller
plus loin que le premier titre.
AC/DC
est une musique de consommation
courante, répétitive,
basique et semblable à des
kilomètres d'autoroute.
-
Dis, c'est quand qu'on s'arrête
Angus ?
- Quoi ? S'arrêter ? Ca va
pas la tête !
Et
les voilà repartis pour au
moins trente berges. Les Stones
n'ont qu'à bien se tenir.
Voilà, c'est fait. Une autre
fois, dans quelques jours, je te
proposerai la chronique du prochain
Metallica.
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l'image
du jour
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Le
chanteur d'AC/DC tout étonné
de
voir que les autres sont là
aussi !
-
Oh, putain, les gars !
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