"Aftermath"
fut le début de la signature
Jagger/Richards. Finies les
reprises des bluesmen amerlocs.
On a droit à un album
de pop-rock, moins sombre et
percutant que les excellents
suivants fin 60/début
70.
C'est
très accessible (les
Stones l'ont toujours été
d'ailleurs sinon ils auraient
sûrement disparu depuis
belle lurette). Toutes les chansons
se valent sans temps vraiment
faible ni super hit. Les paroles
sont comme d'hab' un rien provoc
(pour l'époque) et Jagger
a sa voix pas toujours au top
et pour la première fois
on a droit à un titre
qui dépasse les 11 minutes
mais pour rien. On s'y ennuie
assez vite.
Il
reste quand même quelques
trouvailles musicales dues essentiellement
à Jones qui apporte quelques
instruments originaux pour l'époque
dans le rock comme le dulcimer
ou le sitar. On y trouve déjà
deux guests : Ian Stewart et
Jack Nitzsche, tous deux aux
claviers en tous genre.
Bref,
un album correct avec quelques
titres qui tiennent encore le
coup comme "Mother's little
helper", "Lady Jane",
"Under my thumb",
"Going home" (le début)
ou "Out of time" mais
avec d'autres un peu datés.
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l'image
du jour
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Les
moments les plus dramatiques
de la longue
et douloureuse histoire du rock
!
Sir
Mick venant d'écouter
les derniers disques des Stones.
