C'est
le célèbre "double
blanc". Et
moi, ce qui me gène dans
cet album, ce n'est pas qu'il
soit blanc mais plutôt
double. En effet, les Beatles
proposent quelques titres contestables
égarés dans un
nombre important de petites
merveilles pop inusables. En
plus, parfois le son date un
peu.
Le
début du premier disque
jusqu'à l'arrivée
de "While my guitar...",
moi je le trouve plutôt
moyen. Débutant par une
énervante parodie des
Beach Boys jusqu'au quelconque
"Bungalow Bill", il
propose quelques chansons dispensables.
Puis avant la fin du disque,
"Don't pass me by"
et "Why don't we do it
in the road ?" sont assez
agaçants. Dans le deuxième
disque, "Everybody's got
something to hide, etc"
et "Savoy truffle"
me semblent un ton en dessous.
Le pénible hard-rock
"Helter skelter" et
"Revolution 9", collage
sans queue ni tête qui
n'est même pas de la musique,
n'ont rien à faire dans
cet album. Number nine, number
nine...
Le
reste est de la pop de qualité.
On n'a pas fait mieux depuis.
Avec un sens mélodique
sans faille. Changeant souvent
de registre. Toujours surprenant.
Plein de spontanéité.
Parfois pas loin de la parodie
: "Happiness is a warm
gun" fait penser aux Stones,
"Rocky Racoon" à
Dylan. Les ballades sont superbes
et "While my guitar...
", la meilleure chose d'Harrison
avec l'excellente intervention
de Clapton.
On
a beau être Ze Bitolses,
difficile d'être toujours
au top. Et ce double blanc aurait
fait un super simple.
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l'interview
passionnante d'un
des membres des Beatles
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Une
Star Pour
L'éternité
!
Paul
McCartney
...
où
il nous
dit tout
sur ses
gâteaux
préférés,
John Lennon,
ses compositions
avec les
Beatles
et bien
d'autres
choses encore...
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