"At the end of the day"
et "The great nothing"
(le bien nommé) sont les
plus beaux moments de cet album...
pour qui aime le genre fait de
morceaux à rallonge qui
partent dans toutes les directions,
te balancent de breaks à
la pelle, des citations en guise
de remplissage et deux ou trois
bonnes idées vite effacées
par une multitude de clichés
épuisants.
Quand ils ne font pas dans le
"néo-prog" pur
et dur, les Spock's Bof nous sortent
quelques guimauves de derrière
les fagots ("Goodbye to yesterday"
ou "All on a Sunday")
n'ayant pas plus d'intérêt
qu'une chanson d'une quelconque
cantarelle à nichons de
R'n’b.
Seul "Revelation" et
son côté heavy change
un peu du néo-prog formaté
qui englue cet album et aurait
pu laisser présager quelque
chose du groupe. Malheureusement
plus tard, Spock's Bouffi, avec
ou sans son leader parti suivre
les voies du Seigneur, ne varia
pas d'un iota de sa route emphatique
bourrée de tics. C’est
fort regrettable, je trouve.