Dans
des temps plutôt anciens,
y’avait un groupe qui s’appelait
Journey où les gars faisaient
un truc honnête sans plus
mais par l’usage un peu
trop prolongé leur projet
plutôt ténu devint
rapidement creux, gluant et vain.
Récemment,
il est même revenu à
l’identique et en même
temps, ou pas loin, que Revolution
Saints, un supergroupe avec même
un gars de Journey et un nom pas
forcément judicieux car
tout dans le créneau de...
Journey : soit
mélodies un peu travaillées,
gentil hard-soft-rock et solos
de guitares sans idées
et juste parce qu’il en
faut dans le style.
Tout
ceci n’est pas vraiment
intéressant, pauvre, dans
les stéréotypes
et un peu kitsch aussi. Et de
par le fait qu’on se retrouve
encore dans un terrain très
pratiqué depuis des lustres,
ça ne soulève pas
vraiment l’enthousiasme
et le chanteur pas réellement
bouleversant pourrait même
à la longue aller jusqu’à
me faire regretter le Perry d’antan.
Un comble.