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CHRONiQUES MUSiCALES

AUtRES

You reached for the
secret too soon,
you cried for the moon

Wish You Were Here
Pink Floyd (1975)


Ca débute fort avec le long "Shine On You Crazy Diamond" inspiré de quelques notes de Gilmour à la guitare est dédié à Syd Barrett qui fut l'inoubliable auteur de la célèbre autobiographie : "C'est moi que j'ai trouvé le nom du groupe". Ce titre est un peu dans la continuité du "Echoes" de "Meddle" sorti lui en 71, année plutôt pauvre en chanterelles. Le thème s'étire, nonchalant, plutôt fluide, les interventions à la guitare sont de qualité, ça plane.

Après on a "Welcome To The Machine", un chouïa longuet, un peu trop chargé et plutôt agaçant sur la durée.

Sur la face 2 ça commence avec l'excellent rock, nerveux et rapide "Have A Cigar" chanté par Roy Harper (Gilmour et Waters n'y arrivaient pas, paraît-il).

Ensuite il y a "Wish You Were Here", ballade moyenne, mais sans le saxophone emmerdant et avec des paroles plutôt sympas.

Pour finir, Pink Floyd sans doute en panne d'inspiration rejoue une deuxième fois "Shine On You..." pour remplir un peu le vinyle. Et c'est bien sûr plutôt long et gonflant avec le saxophone emmerdant.

Au final, je ne comprends pas vraiment la quasi-unanimité laudatrice autour de ce disque. Mais bon, c'est plutôt court, Pink Floyd était encore un peu un groupe et ça reste un de leurs moins mauvais.

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l'image du jour _____________________________________________________________________________

Les moments les plus étonnants de la longue
et merveilleuse histoire du groupe Pink floyd !



L'autre jour, lorsqu'il joua pour la deux cent deuxième
fois "The Wall" en concert, Roger Waters regarda
s'il n'y avait pas David Gilmour dans la salle.