Ami
du Floyd, bonjour !
Il y a un siècle, ou
pas loin, en même temps
que l'année était
médiocre pour les vins
de Bordeaux, le trio Pink Floyd
embauchait Peter Gabriel pour
faire l’homme-ampoule
sur la jolie pochette puis enregistrait
live ce double album pour montrer
qu’ils étaient
encore là à trois
et qu’ils emmerdaient
Waters.
Le groupe s’entoure de
guests comme d’hab', toujours
les mêmes d’ailleurs,
tu les connais mieux que moi,
je ne les nommerai donc pas.
Et, comme de bien entendu, Pink
Floyd joue d'abord les titres
plus, disons, "pop",
du précédent "A
momentary...", l’album
sans Waters et "Shine on
you...", chanson, je le
rappelle si tu as oublié,
composée en hommage à
Barrett, un gars qui a fait
partie de Pink Floyd refusant
à juste raison qu'on
appelât le groupe Robert
Waters ce qui eut été
malgré tout plus rigolo.
Après, le groupe reprend
quelques trucs plus, disons,
"prog", de, devine
quoi ? Eh bien tu as gagné
! Il s’agit de "The
wall", l'album sans doute
le plus vendu du Floyd. On joue
aussi des titres de, devine
quoi ? Eh bien tu as encore
gagné ! Il s’agit
en effet de "Dark side...",
l’album sans doute le
plus vendu du Floyd.
Bref, ce live n’est peut-être
pas le meilleur de la production
en concert de Pink Floyd mais
il mérite quand même
le détour comme une sorte
de petit bestof et les titres
restent de qualité dans
l’ensemble... Et ai-je
déjà écrit
que Gilmour est un bon guitariste
? Oui ? Bon, j’arrête
là ma chronique.
Ami du Floyd, bonsoir !
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l'image
du jour
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Les
instants les
plus bouleversants
de la longue
et
merveilleuse
histoire du
groupe Pink
Floyd !
On dirait
que ça
va un peu
mieux
entre David
Gilmour et
Roger Waters.
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